Sandhya Natalia est une artiste peintre franco-italienne née le 15 mars 1970 à Décines, près de Lyon. C’est là où elle a grandi, avant de vivre en Italie, au Sénégal, aux Etats Unis et en Allemagne. Être mariée à un homme d’affaire indien depuis une vingtaine d’année l’a sortie du moule pour lui donner une vision plus libre. Vivant séparément depuis 2015, elle s’est installée sur la Côte d’Azur, au Rouret, pour suivre sa voix, sa voie, celle de l’art quantique.
Elle varie les techniques, autant à l’aise au pinceau qu’au couteau, pour exprimer en couleur des éléments de paix, de gaieté, d’élan de vie, de liberté…, utilisant acrylique, pigments, peinture à l’huile ou aquarelle. De son parcours extra-ordinaire est né l’art quantique dont elle est précurseur. Elle applique la spiritualité dans la matière pour créer des oeuvres à caractère anthropologique qui génèrent des messages subliminaux pouvant dénouer certains mystères de la vie.
Dès l’enfance, elle est inspirée par des Grands Maîtres comme Picasso, Gauguin et Monet. Autodidacte, hormis quelques cours dans des ateliers d’art plastique sur le tard, elle reçoit à 19 ans le Prix du Jury de la fondation Paul Ricard pour son premier tableau exposé dans le cadre prestigieux de l’Espace Tête d’Or à Lyon. Le Jury lui reconnait un don et le lui dit. Il lui montre la voie sur laquelle poursuivre. Elle n’est pas encore consciente qu’elle cherche à retrouver son père, symbole de la sécurité matérielle depuis son enfance. Aussi, elle choisit, fraîchement diplômée de SUP DE CO REIMS, une carrière dans l’audit au sein du cabinet ANDERSEN. Ceci renforce son sens de l’analyse des systèmes complexes, ce qui lui sert plus tard dans l’étude du système corps-esprit-âme pour ses oeuvres quantiques. Sa rencontre avec le Dr. Dietrich KLINGHARDT, soit près de 15 000 heures de pratique à ses côtés dans une clinique aux USA en sus de son enseignement théorique de la médecine quantique (2004-2007), est déterminante plus tard pour l’intensité et l’expression de la pureté des vibrations émises dans ses oeuvres.
De cette expérience, elle en retire aussi la capacité de capter les fréquences qui permettent de passer outre l’obstacle entravant la lumière.
Depuis 2008, elle imprime ces belles fréquences dans la matière de ses oeuvres qui agissent tels des soins fréquentiels émettant des fréquences transcendantales, c’est-à-dire facilitant la circulation de la lumière autour de l’atome.